Le Monastère invisible de Jean-Paul II est un vaste mouvement qui réunit les plus faibles. D’une part, tous les petits enfants, les saints innocents et martyrs ; de l’autre, toutes les personnes immobilisées ou isolées, notamment à cause de la maladie, du handicap ou du grand âge (dans les hôpitaux, les prisons ou les maisons de retraite). Ces personnes, par leurs prières d’offrandes, constituent comme des piliers qui permettent au monde de grandir vers Dieu et de ne pas basculer vers la perdition. « Ne souffrez pas pour rien, c’est trop triste » (Marthe Robin). Ce monastère est un véritable appel pour tous ceux qui acceptent d’offrir dans l’amour leurs souffrances physiques, morales et spirituelles, oeuvrant ainsi en union avec le Christ au salut du monde. Un mouvement qui prend de l’ampleur Le Monastère invisible est une grande communauté qui, dans l’Esprit de communion des saints, s’offre quotidiennement pour les familles. Un appel pour tous les plus faibles « C’est lorsque je suis faible qu’alors je suis fort » saint Paul, apôtre. « Ta faiblesse, une force et un trésor pour l’Église » Jean-Paul II. « Le Monastère invisible nous conduit à la joie. Il est beaucoup question de la souffrance dans ce livre. Mais c’est la joie et l’Amour qui ont le dernier mot » préface de Mgr Dominique Rey.
Marié et père de trois enfants, Martial Codou, fondateur du mijp2, était diacre permanent du diocèse de Fréjus-Toulon. chargé d’un ministère auprès des malades et des prisonniers.
Nouvelle édition augmentée, Editions Salvator – Prix Public TTC : 16,50 €
Une édition en langue polonaise, actuellement indisponible, avait été réalisée par les éditions carmélitaines
Flos Carmeli
BONNES NOUVELLES DU CIEL
de Martial Codou
Des récits simples et touchants de la présence de Dieu au quotidien. Les fruits de la prière du Monastère Invisible formé par les malades. Dans nos vies si souvent marquées par les difficultés, le poids du quotidien, la maladie ou la mort, il arrive que nous recevions aussi de « bonnes nouvelles » du ciel. À travers de petits clins d’oeil qui sont autant de signes d’espérance, Dieu ne fait pas que nous parler, il témoigne de son amour. Cette présence discrète de la Providence, cette tendresse qui nous accompagne, Martial Codou en a fait l’expérience jour après jour. Ce sont toutes ces « bonnes nouvelles » qu’il nous partage ici dans ces histoires toutes simples, entre larmes et sourires, gravité et humour, ferveur et légèreté. Fioretti nourris de multiples rencontres, mais aussi fruits de la prière vécue au sein du Monastère invisible de Jean-Paul II, ces moments sont toujours l’occasion de rendre grâce et de retrouver espoir. Avec la simplicité du coeur…
J´AI VU TOMBER LE RIDEAU DE FER
« Dieu m’a confié une mission, celle de changer la souffrance en bonheur »
par sœur Catherine-Élizabeth, laïque consacrée.
Catherine-Élizabeth a été mystérieusement appelée, au début des années 1970, à une communion de plus en plus profonde avec les chrétiens persécutés des pays d’Europe de l’Est.
Définitivement handicapée suite à un accident, elle a peu à peu découvert le lien entre son épreuve et la mission particulière qui lui était confiée. Celle-ci prit notamment la forme de missions clandestines dans ces pays-prisons.
Le récit que l’auteur en donne est stupéfiant. À tous ceux qui souffrent, Catherine-Élizabeth apporte un témoignage bouleversant. Elle fait siennes les paroles du mystique martyr vietnamien Marcel Van (1928-1959) , « Dieu m’a confié une mission : celle de changer la souffrance en bonheur ».
Il existe aussi une édition en polonais du livre de Catherine-Elisabeth dont la traduction a été assurée par le Père Julien Ilwicki publiée chez Flos Carmeli